5 septembre 2021

Slobodan Despot, l’Antipresse

Par Philippe
  • Un antidote à la pensée unique. Des lectures provocantes qui font sauter les stéréotypes et vous incitent à penser le monde par vous-même.
  • Une communauté d’esprits libres. Car les êtres qui réfléchissent sont plus proches que l’on croit.
  • Une interrogation ouverte, non une lessiveuse à cerveaux. Des réflexions approfondies, des points de vue inattendus et des témoignages humains.
  • Une voie vers l’indépendance. Nous ne prétendons pas vous «réinformer», mais vous aider à comprendre. Trouver de bonnes lectures et des références sûres. Redécouvrir les idées qui réconfortent et qui libèrent.

Les citer, s’indigner contre les écrivains, penseurs et philosophes autoproclamés qui ne sont que les serviteurs plus ou moins lettrés de la Cour covidiste revient à leur faire trop d’honneur. Les temps sont déjà assez toxiques, et il est préférable, salvateur même de ne pas en rajouter en s’adonnant aux « passions tristes ». Et, comme je suis paresseux le dimanche matin (pas seulement le dimanche matin en vérité), je vous lance une invitation à aller lire ailleurs. Je commence par Slobodan Despot et son Antipresse. Depuis six ans et 301 numéros, Slobodan Despot, épaulé par d’autres contributeurs comme Éric Werner, publie sans interruption une lettre hebdomadaire littéraire, politique, philosophique. Bien avant mais encore plus depuis l’an 0 de l’ère covidiste, Qrcodiste, le vendredi soir – quand je ne loupe pas le direct – et le dimanche matin, en paroles et en toutes lettres, Slobodan Despot et l’Antipresse offrent une bouffée d’oxygène à mon cerveau qui suffoque parfois, souvent sous l’air vicié de notre époque enfumée.

L’écouter est gratuit. Le lire, c’est sur abonnement.

Sa dernière vidéo.

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